Et me revoilà (rapidement cette fois, vous remarquerez ^^) pour continuer le récit de ma petite vie pleine de surprise… Et comme vous avez pu le comprendre au titre de ce petit entrefilet, je vais vous parler de l’entreprise de transport que je fréquente le plus, j’ai nommé la SNCF !!
Pour vous faire un petit résumé, si vous n’êtes pas encore au courant, j’ai du monter sur la région parisienne la semaine dernière pour aller à la recherche de l’appartement perdu… Pleine de bonne volonté, je me suis connectée sur le site 12-25 (et oui, je ne suis pas si vieille que ça, même une gamine pour un hobbit je l’avoue…) pour m’offrir un joli billet gratuit avec les points durement accumulés au fil des années.
La réservation ne fut pas une mince affaire car pour ceux qui ne connaissent pas le système, les trains auxquels nous avons le droit, nous demandeurs de billets gratuits, sont plutôt restreints… Donc déjà, une bonne demi heure à trouver le train qui va bien, à remplir les petits formulaires pour finalement valider ma commande : un billet Montpellier Saint Roch – paris gare de Lyon le 3 décembre à 16h20 qui doit m’être livré à domicile vu que j’ai un peu plus d’une semaine avant mon départ le jour de ladite commande.
Enfin bref, les jours passent, chaque midi je me rue sur ma boite aux lettres dans l’espoir de trouver un joli petit billet bien au chaud dans sa belle enveloppe aux couleurs de la SNCF… Mais chaque jour je ne trouvais que du vide (si on exclut les kilos de pub journalier, bien sur…)… Au début pas trop d’inquiétude, mais le jour de l’échéance, gros coup de stress quand même…
Heureusement, SASIA m’avait dit qu’en cas de problème on pouvait retirer les billets au guichet. Donc, ma petite valise sous le bras (oui, pas un panier, je n’allais pas au marché…), j’ai pris le chemin de la gare une bonne heure et demi à l’avance, et bien m’en a pris : 45 minutes d’attente au guichet pout tomber sur une pauvre dame de la SNCF.
La, gros moment de panique pour elle : le billet avait été envoyé selon son fichier, du coup elle ne savait pas comment faire pour m’en éditer un. Elle quitte son petit fauteuil, passe de bureaux en bureaux, de téléphones en téléphones… Et finalement un collègue sympathique lui indique la marche à suivre. Elle m’imprime donc un joli billet que voici (sans mon nom, je tiens à garde l’anonymat moi…) :
Pour vous faire un petit résumé, si vous n’êtes pas encore au courant, j’ai du monter sur la région parisienne la semaine dernière pour aller à la recherche de l’appartement perdu… Pleine de bonne volonté, je me suis connectée sur le site 12-25 (et oui, je ne suis pas si vieille que ça, même une gamine pour un hobbit je l’avoue…) pour m’offrir un joli billet gratuit avec les points durement accumulés au fil des années.
La réservation ne fut pas une mince affaire car pour ceux qui ne connaissent pas le système, les trains auxquels nous avons le droit, nous demandeurs de billets gratuits, sont plutôt restreints… Donc déjà, une bonne demi heure à trouver le train qui va bien, à remplir les petits formulaires pour finalement valider ma commande : un billet Montpellier Saint Roch – paris gare de Lyon le 3 décembre à 16h20 qui doit m’être livré à domicile vu que j’ai un peu plus d’une semaine avant mon départ le jour de ladite commande.
Enfin bref, les jours passent, chaque midi je me rue sur ma boite aux lettres dans l’espoir de trouver un joli petit billet bien au chaud dans sa belle enveloppe aux couleurs de la SNCF… Mais chaque jour je ne trouvais que du vide (si on exclut les kilos de pub journalier, bien sur…)… Au début pas trop d’inquiétude, mais le jour de l’échéance, gros coup de stress quand même…
Heureusement, SASIA m’avait dit qu’en cas de problème on pouvait retirer les billets au guichet. Donc, ma petite valise sous le bras (oui, pas un panier, je n’allais pas au marché…), j’ai pris le chemin de la gare une bonne heure et demi à l’avance, et bien m’en a pris : 45 minutes d’attente au guichet pout tomber sur une pauvre dame de la SNCF.
La, gros moment de panique pour elle : le billet avait été envoyé selon son fichier, du coup elle ne savait pas comment faire pour m’en éditer un. Elle quitte son petit fauteuil, passe de bureaux en bureaux, de téléphones en téléphones… Et finalement un collègue sympathique lui indique la marche à suivre. Elle m’imprime donc un joli billet que voici (sans mon nom, je tiens à garde l’anonymat moi…) :

Un petit coup de Stabilo-Boss pour bien faire remarquer que leurs petits collègues du central n’avait pas bien fait leur travail, et un petit mot pour le contrôleur pour ne pas qu’il soit perdu… Et là… Vous remarquerez ce jolis gribouillis à la main : la pauvre, elle était tellement stressée qu’elle ne savait même plus écrire le mot commande… Un ou deux M, là était la question…
Deux trois paroles apaisantes et je tenais enfin le billet tant attendu en main… ni une ni deux, j’ai pris la poudre d’escampette histoire qu’elle ne change pas d’avis et ne le reprenne… Un petit coup à la trouyoteuse automatique et direction le quai pour aller chercher ma jolie voiture… Et là…. Surprise…. Regardez ce magnifique panneau d’affichage :

Bon, je sais, c’est flou, mais même remarque qu’au post précédent sur la luminosité des gares SNCF… Mais bon, pour information, le train était composé de 9 wagons numéroté de 1 à 9… Ou est le problème ? Remontez un peu et regardez le numéro de voiture indiqué sur mon billet…
Et oui, j’étais l’unique passagère de la voiture fantôme numéro 16… J'ai bien tenté de trouver la voie 9 ¾, mais après m'être presque fracturé le nez contre un mur j'ai abandonné... En tout cas, grand moment de solitude, pour le coup ils m’ont tout fait en une seule journée… Je me dirige donc vers le chef de gare, lui tend mon billet, et avec mon plus beau sourire, lui demande une solution à ma situation incongrue… L’homme a regardé mon billet un air complètement perdu sur le visage, se demandant certainement ce qu’avaient fumé ses collègues, et est allé lui aussi demander conseil à ses petits collègues…
Heureusement pour moi, le train était loin d’être plein, et j’ai eu l’a gracieuse autorisation de poser mon auguste postérieur ou bon me semblait. J’ai choisi un coin tranquille en espérant que personne ne viendrait réclamer la place que je m’étais attribuée d’office aux arrêts suivant. J’ai ouvert mon petit livre de mots croisés et j’ai commencé à me creuser la cervelle (sommeil artificiel en 7 lettres : NARCOSE).
Second arrêt, tout va bien. Mais arrêt suivant, je vois s’asseoir devant moi deux marlous en costards qui commencent à me faire un foin d’enfer. Je me tourne vers la porte et me mets presque à prier que quelqu’un vienne me dire que je me trouvais à sa place. Hélas, cent fois hélas, ce ne fut point le cas… Et j’ai du supporter les deux imbéciles prétentieux pendant 2h30… Leur réflexion sur les « meufs », la « Ziq In » et autres sujets sans intérêt…
J’ai tenu bon, fermement décidée à ne pas faire d’esclandre, j’ai fait semblant de dormir profondément, réussissant à ne pas m’étrangler d’indignation devant certaines de leurs remarques sexistes. Mais une fois le train en Gare de Lyon, mon bagage fermement vissé à ma petite mimine, je n’ai pas pu m’en empêcher… Je leur ai fait une remarque bien sentie du genre (oui, désolée, je n’ai pas noté… Donc c’est de l’approximatif…) « C’est pas le costard qui fait l’homme, la preuve, vous avez la mentalité de bigorneaux anémiques… »… Gros blanc, yeux écarquillés… Maintenant je me rends compte que j’ai était injuste : les bigorneaux ne méritent pas une telle comparaison.
Ensuite, rien de bien passionnant : RER, Métro, RER et arrivée chez mon beau frère pour enfin me reposer et avaler un petit quelque chose… A ma grande surprise, le retour s’est passé on ne peut mieux, je suis même arrivée en avance (fermez la bouche, ce n’est pas une blague !!) mais bon, des voyages comme ça, ça vous ôte l’envie de partir…
PS : Je suis toujour à la recherche du billet perdu qui aurait du me parvenir par La Poste... Qui est a blamer?... Je vais aller faire un tour à Perdu de Vue, on ne sait jamais...
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